Franchir l'Atlantique pour soulager votre dos
Chez SOS Tourisme Médical, nous avons une mission claire : offrir aux patients québécois souffrant de pathologies du dos un accès privilégié aux meilleures innovations chirurgicales disponibles en France — des solutions souvent indisponibles au Canada ou non remboursées ici. Notre objectif est de permettre à chaque patient de retrouver sa mobilité, sans douleur, grâce aux technologies les plus avancées en chirurgie du rachis.
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Ce podcast exhaustif présente la chirurgie simple de la colonne vertébrale, une approche privilégiée pour traiter les compressions nerveuses sans affecter la mobilité naturelle du patient. […]
Chirurgie simple de la colonne vertébrale
Préservation de la mobilité sans implant et protection des étages adjacents
1. Introduction : pourquoi parler de « chirurgie simple » ?
Dans le domaine de la chirurgie rachidienne, trois grandes familles de procédures sont couramment opposées :
| Famille | Objectif principal | Impact sur la mobilité segmentaire |
|---|---|---|
| Chirurgie simple (décompression seule) | Retirer la ou les structures compressives (fragment discal, ligament hypertrophié, ostéophyte) | Mobilité préservée |
| Fusion | Stabiliser définitivement un ou plusieurs segments au moyen d’implants (vis, cages, greffes osseuses) | Mobilité supprimée au niveau opéré, risque de sursollicitation des niveaux voisins |
| Motion avec implant (arthroplastie discale, prothèse de facettes…) | Retirer le disque ou l’articulation et le remplacer par un implant mobile | Mobilité artificiellement maintenue grâce à la prothèse |
La chirurgie simple — parfois appelée décompression isolée, chirurgie conservatrice ou, dans la littérature anglo‑saxonne, non‑fusion surgery — vise à éliminer la cause mécanique de la douleur et/ou du déficit neurologique sans rigidifier le segment touché. De ce fait, elle constitue souvent la première option chirurgicale lorsqu’il existe une instabilité minimale et que l’indication principale est une compression nerveuse localisée (hernie discale, sténose foraminale ou canal étroit lombaire modéré).
Au cours des vingt dernières années, les progrès réalisés en microchirurgie, en endoscopie rachidienne et en navigation 3D ont permis de réduire encore le caractère invasif de ces interventions, améliorant les taux de succès (jusqu’à 90 % de bons résultats après microdiscectomie) et diminuant la durée d’hospitalisation, parfois ramenée à moins de 24 heures (PubMed, e-neurospine.org).
2. Anatomie fonctionnelle et biomécanique : fondements nécessaires
Comprendre la logique de la chirurgie simple suppose de revisiter brièvement la biomécanique de la colonne vertébrale :
3. Pathologies et indications de la chirurgie simple
| Pathologie | Mécanisme compressif | Signes cliniques types | Niveau de preuve pour décompression isolée |
|---|---|---|---|
| Hernie discale (cervicale ou lombaire) | Fragment nucléus pulposus migre vers canal/foramen | Douleur radiculaire, paresthésies, hypo‑ ou aréflexie | Très élevé (plusieurs méta‑analyses et RCT) |
| Sténose lombaire dégénérative modérée | Hypertrophie ligamentum flavum, ostéophytes | Claudication neurogène, douleurs retrassées | Élevé (guidelines NASS) (spine.org) |
| Conflit facettaire/foraminal unilatéral | Ostéophytes postéro‑latéraux | Douleur radiculaire positionnelle | Modéré |
| Syndrome du canal cervical étroit sans instabilité | Ossification ligament vertébral, disques bombants | Myélopathie ou radiculopathie douce à modérée | Moyen (études cohorte) |
Contre‑indications relatives : instabilité flagrante (> 3 mm de déplacement sur clichés dynamiques), listésis de grade II ou plus, discopathie sévère avec perte de hauteur > 50 %, scoliose lombaire structurale, infection, tumeur, ostéoporose avancée.
4. Évaluation préopératoire : garantir l’indication adéquate
Anamnèse détaillée (durée des symptômes, inefficacité ≥ 6 semaines de traitement conservateur, drapeaux rouges).
Examen neurologique (force, sensibilité, réflexes, signes de tension radiculaire).
Imagerie :
Échelles fonctionnelles et de douleur : ODI, NDI, VAS, ZCQ (Zürich Claudication Questionnaire).
Bilan pré‑anesthésique : évaluation cardiopulmonaire, hémogramme, coagulopathies.
Consentement éclairé : discussion des alternatives (fusion, arthroplastie, poursuite traitement conservateur).
Les lignes directrices NASS (2024) insistent sur l’importance de corréler findings radiologiques et examen clinique avant toute décompression seule (spine.org).
5. Techniques chirurgicales : de la microdiscectomie classique à l’endoscopie bi‑portale
5.1 Microdiscectomie lombaire standard
Résultat: soulagement radiculaire immédiat dans > 85 % des cas, taux de ré‑hernie ~8 % à 2 ans (ScienceDirect).
5.2 Laminectomie/laminotomie pour sténose lombaire
5.3 Foraminotomie cervicale postérieure mini‑invasive
5.4 Endoscopie rachidienne mono‑ ou bi‑portale (ESS, Biportal Endoscopic Spine Surgery)
5.5 Navigation 3D et réalité augmentée
6. Avantages spécifiques de la chirurgie simple
Préservation de la cinématique naturelle : absence d’implant rigide = flexion/extension physiologique intacte.
Réduction du risque de maladie du segment adjacent (ASD) : incidence < 2 % à 5 ans contre ~9 % après fusion (Archives of Medical Science, Spandidos Publications).
Temps opératoire et perte sanguine inférieurs (microdiscectomie moyenne 60–90 min, saignement < 100 ml).
Hospitalisation courte : chirurgie ambulatoire ou 1 nuit.
Moindre coût global : pas d’implants métalliques/coques PEEK ; réopération pour pseudarthrose inexistante.
Possibilité de révision : en cas de récidive, la chirurgie initiale n’hypothèque pas la mise en place ultérieure d’une fusion ou d’une prothèse discale.
7. Risques, complications et limites
| Complication | Incidence approximative | Commentaires |
|---|---|---|
| Durotomie accidentelle | 1–5 % | Suture primaire, drainage court ; rares conséquences neurologiques. |
| Infection superficielle/profonde | < 1 % | Prophylaxie antibiotique, suivi cicatriciel. |
| Récidive hernie discale | 5–10 % | Pic dans les 2 ans, dépend de technique (discectomie vs sequestrectomie) (ScienceDirect). |
| Instabilité retardée | < 2 % | Surveillance radiologique si laminectomie étendue. |
| Thrombose veineuse profonde | < 1 % | Mobilisation précoce, bas de compression. |
Limites : Inefficace chez les patients présentant douleur lombaire d’origine discogène pure sans composante radiculaire, instabilité manifeste ou scoliose sévère. Dans ces cas, fusion ou arthroplastie peuvent être préférables.
8. Résultats cliniques et preuves scientifiques
9. Réhabilitation et reprise des activités
Jour 0–1 : levée précoce, marche assistée.
Semaines 1–4 :
Semaines 4–8 :
Mois 3–6 :
Les guides de bonnes pratiques insistent sur la rééducation active pour prévenir chronicité ou récidive discale.
10. Comparaison détaillée : chirurgie simple vs fusion vs motion‑preserving implant
| Critère | Simple | Fusion | Arthroplastie discale / Motion implant |
|---|---|---|---|
| Conservation mobilité | Oui (native) | Non | Oui (artificielle) |
| Risque ASD | Faible | Élevé (7–12 % à 10 ans) | Modéré à long terme (prothèse peut s’user) |
| Temps op & saignement | Le plus faible | 2–4 h, saignement > 400 ml | 2–3 h, variable |
| Hospitalisation | 0–1 jour | 2–4 jours | 2–3 jours |
| Coût (CA) | 15–20 k $ | 25–50 k $ (implants, greffe) | 35–45 k $ (prothèse) |
| Indications | Radiculopathie, sténose modérée, hernie | Instabilité, listésis, discopathie sévère | Discopathie unique, < 60 ans, bonne hauteur discale |
| Possibilité révision | Fusion ou prothèse si échec | Révision complexe (pseudarthrose, ASD) | Fusion secondaire parfois nécessaire |
11. Aspects économiques et tourisme médical
Pour les patients québécois, des plateformes spécialisées comme SOS Tourisme Médical coordonnent la sélection des centres certifiés, l’interprétation médicale, et un suivi postopératoire une fois de retour au pays, minimisant les risques liés au voyage.
12. Foire aux questions (FAQ)
Une hernie discale peut‑elle se résorber spontanément ?
Oui, surtout si elle est extrudée ; la décompression est proposée lorsque la douleur ou le déficit neurologique persiste ≥ 6 semaines ou s’aggrave.Dois‑je porter un corset après microdiscectomie ?
Généralement non ; la ceinture lombaire est réservée aux patients anxieux ou ayant douleur mécanique résiduelle.Quand puis‑je conduire ?
Souvent dès la 2ᵉ semaine si la mobilité et la vigilance sont adéquates.Quelle est la différence entre microdiscectomie et endoscopie ?
L’endoscopie nécessite une incision plus petite et moins de destruction musculaire, avec résultats fonctionnels comparables.Le laser est‑il utilisé pour vaporiser la hernie ?
Les techniques au laser ont été abandonnées faute de bénéfice démontré vs risques thermiques.Combien de temps dure la cicatrisation interne ?
Le tissu fibreux se stabilise en 6–8 semaines, mais la régénération annulaire complète dépasse 6 mois.Quel est le taux de récidive ?
5–10 % selon la taille initiale, le volume discal résiduel et l’observance des consignes d’hygiène rachidienne.Puis‑je voyager en avion rapidement ?
Oui, en l’absence de complications ; idéalement attendre 7–10 jours pour réduire risque thrombotique.La décompression suffit‑elle si j’ai un spondylolisthésis ?
Grade I parfois oui ; grade II+ nécessite souvent une fusion.Existe‑t‑il une limite d’âge ?
L’âge biologique prime sur l’âge chronologique ; des patients de 80 ans sans comorbidités lourdes peuvent bénéficier d’une laminectomie sous anesthésie rachidienne.
13. Étude de cas illustratif (scénarisé)
Profil : M. L., 46 ans, informaticien, hernie discale L4‑L5 extrudée avec sciatalgie invalidante OD depuis 4 mois.
Traitements conservateurs : AINS, infiltration épidurale, physio – échec.
IRM : compression radiculaire sévère, pas d’instabilité.
Intervention : microdiscectomie endoscopique transforaminale sous anesthésie locale + sédation.
Durée : 55 min ; saignement < 30 ml ; sortie hôpital 7 heures post‑op.
Score ODI : 64 / 100 pré‑op → 12 / 100 à 6 sem ; reprise travail à 4 semaines.
Complications : aucune.
Ce cas illustre la rapidité de récupération et la préservation complète de la mobilité lombaire.
14. Conclusion
La chirurgie simple constitue aujourd’hui la pierre angulaire du traitement chirurgical des radiculopathies et sténoses modérées lorsqu’il n’existe pas d’instabilité manifeste. Son objectif est clair : décomprimer la structure nerveuse sans compromettre la mécanique naturelle de la colonne, de sorte à :
Le choix entre décompression seule, fusion ou arthroplastie doit être individualisé ; il repose sur une analyse clinique et radiologique précise, l’expérience de l’équipe chirurgicale et les attentes du patient. Grâce aux progrès constants en micro‑instrumentation, endoscopie et navigation, la chirurgie simple reste l’option la plus conservatrice et la moins invasive pour traiter nombre de pathologies rachidiennes tout en préservant le capital fonctionnel de la colonne vertébrale.
Références
Kelbert J. et al. Comparison of microdiscectomy and fragmentectomy… J Clin Neurosci, 2025. (PubMed)
Spandidos P. Adjacent segment disease after fusion… Mol Med Rep, 2024. (Spandidos Publications)
NASS. Clinical guidelines – lumbar spinal stenosis, 2024. (spine.org)
Park S. Safety profile of biportal endoscopic spine surgery, 2025. (e-neurospine.org)
RCT full‑endoscopic vs tubular microscopic decompression, 2023. (PubMed)
ScienceDirect. Discectomy vs sequestrectomy, 2024. (ScienceDirect)
Archives Med Sci. Reoperation rate after fusion and non‑fusion surgery, 2023. (Archives of Medical Science)
Bookimed. Best discectomy clinics and costs in 2025. (Bookimed)
Times of India. Navigation‑guided endoscopic surgery, 2025. (Times of India)
Vos Questions les Plus Fréquentes (FAQ)
Chirurgie - Simple
La chirurgie mini-invasive sans fusion est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la sténose lombaire modérée. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
L’un des principaux avantages de la chirurgie de décompression simple est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
L’un des principaux avantages de la laminotomie est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Dans les cas de sténose lombaire modérée sans instabilité vertébrale, la foraminotomie est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
IRM, radiographies dynamiques, parfois scanner ou électromyogramme.
Oui, arrêt de certains médicaments, bilan sanguin, imagerie et consultation d’anesthésie.
La discectomie partielle est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la rétrécissement foraminal modéré. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Dans les cas de rétrécissement foraminal modéré sans instabilité vertébrale, la chirurgie de décompression simple est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Dans les cas de sténose lombaire modérée sans instabilité vertébrale, la chirurgie endoscopique ciblée est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
La chirurgie de décompression simple est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la sciatique sans instabilité. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
C’est une intervention ciblée, peu invasive, sans implant, visant à libérer un nerf ou corriger une petite anomalie mécanique.
Oui, dans certains cas, mais plus souvent elle est limitée à un seul niveau.
Oui, c’est précisément son indication principale.
Contrairement à la fusion, la chirurgie mini-invasive sans fusion ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Contrairement à la fusion, la foraminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Oui, la laminotomie est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Dans les cas de sténose lombaire modérée sans instabilité vertébrale, la chirurgie de décompression simple est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Hernie discale localisée, canal étroit modéré, kyste synovial ou compression foraminale isolée.
Oui, lorsqu’un nerf est sévèrement comprimé, la décompression peut éviter une aggravation.
La chirurgie simple libère sans stabiliser, tandis que la fusion bloque un segment avec des implants.
Dans les cas de compression nerveuse isolée sans instabilité vertébrale, la chirurgie de décompression simple est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
L’un des principaux avantages de la laminotomie est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
La chirurgie mini-invasive sans fusion est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la sciatique sans instabilité. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Dans les cas de sténose lombaire modérée sans instabilité vertébrale, la chirurgie endoscopique ciblée est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Non, elle est souvent réalisée en ambulatoire ou avec une courte hospitalisation de 24 à 48 heures.
Dans certains cas oui, mais parfois une amélioration progressive sur quelques semaines est nécessaire.
Non, elle vient après l’échec des approches non chirurgicales comme la décompression non invasive ou la kinésithérapie.
Contrairement à la fusion, la laminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
La laminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la sténose lombaire modérée. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Contrairement à la fusion, la chirurgie de décompression simple ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Contrairement à la fusion, la chirurgie mini-invasive sans fusion ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Non, cette chirurgie ne nécessite ni fusion ni matériel de stabilisation.
En général entre 2 et 6 semaines, selon le geste réalisé et l’état du patient.
La foraminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la hernie discale lombaire. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Dans les cas de sciatique sans instabilité sans instabilité vertébrale, la chirurgie mini-invasive sans fusion est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
L’un des principaux avantages de la discectomie partielle est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Oui, la chirurgie mini-invasive sans fusion est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, car aucun segment n’est bloqué. La mobilité est généralement préservée.
Oui, comme tout acte médical, elle peut être suivie de récidive ou d’un soulagement partiel.
Contrairement à la fusion, la foraminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
L’un des principaux avantages de la chirurgie de décompression simple est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Contrairement à la fusion, la discectomie partielle ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
La laminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la hernie discale lombaire. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Il est élevé, entre 80 et 95 % selon l’indication et le bon choix du patient.
Oui, une hernie peut récidiver au même ou à un autre niveau.
Contrairement à la fusion, la laminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Dans les cas de hernie foraminale sans instabilité vertébrale, la chirurgie endoscopique ciblée est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Contrairement à la fusion, la chirurgie mini-invasive sans fusion ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Contrairement à la fusion, la discectomie partielle ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Oui, en général la reprise des activités se fait dans les 4 à 6 semaines.
Une reprise à temps partiel est souvent possible après 2 à 4 semaines pour un travail sédentaire.
La laminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la sténose lombaire modérée. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Oui, la chirurgie mini-invasive sans fusion est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
L’un des principaux avantages de la chirurgie de décompression simple est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
L’un des principaux avantages de la chirurgie de décompression simple est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Oui, dans la majorité des cas, la marche est autorisée quelques heures après l’intervention.
Oui, progressivement après 4 à 8 semaines, selon votre condition et type d’activité.
Contrairement à la fusion, la chirurgie endoscopique ciblée ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Contrairement à la fusion, la foraminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
La foraminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la hernie discale lombaire. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
La chirurgie mini-invasive sans fusion est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la discopathie débutante. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Les risques sont faibles mais incluent infection, saignement, ou brèche durale.
Des antalgiques, parfois des myorelaxants ou anti-inflammatoires pendant quelques jours.
La discectomie partielle est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la rétrécissement foraminal modéré. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
La chirurgie endoscopique ciblée est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la arthrose localisée. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
L’un des principaux avantages de la chirurgie mini-invasive sans fusion est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
L’un des principaux avantages de la discectomie partielle est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Non, l’incision mesure souvent entre 2 et 4 cm.
Non, le laser n’est pas utilisé dans la plupart des décompressions vertébrales simples.
La chirurgie mini-invasive sans fusion est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la discopathie débutante. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Dans les cas de sténose lombaire modérée sans instabilité vertébrale, la chirurgie mini-invasive sans fusion est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Contrairement à la fusion, la chirurgie endoscopique ciblée ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Oui, la chirurgie mini-invasive sans fusion est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Une anesthésie générale ou rachianesthésie selon la localisation et la durée.
Très rarement, la perte sanguine est généralement minime.
La chirurgie mini-invasive sans fusion est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la hernie discale lombaire. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
L’un des principaux avantages de la laminotomie est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Contrairement à la fusion, la chirurgie endoscopique ciblée ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Dans les cas de hernie discale lombaire sans instabilité vertébrale, la discectomie partielle est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Entre 30 minutes et 1h30 selon le geste chirurgical.
C’est rare, mais une faiblesse résiduelle ou paresthésie est possible si le nerf était très irrité.
Oui, la chirurgie de décompression simple est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, la discectomie partielle est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, la chirurgie endoscopique ciblée est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, la chirurgie mini-invasive sans fusion est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, dans certains cas la voie endoscopique est privilégiée.
Oui, si les recommandations post-opératoires sont respectées et que le patient reste actif.
Contrairement à la fusion, la chirurgie de décompression simple ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
L’un des principaux avantages de la laminotomie est qu’elle évite l’implantation d’un dispositif rigide, réduit les complications et favorise une récupération plus rapide.
Contrairement à la fusion, la chirurgie mini-invasive sans fusion ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Oui, la chirurgie endoscopique ciblée est spécifiquement conçue pour éviter une fusion vertébrale lorsque le segment rachidien est stable.
Oui, on exige souvent 3 à 6 mois de traitement médical avant de proposer la chirurgie.
En France, elle est généralement couverte par la sécurité sociale si réalisée en milieu conventionné.
La foraminotomie est une intervention mini-invasive utilisée pour traiter la rétrécissement foraminal modéré. Elle consiste à libérer les nerfs comprimés sans bloquer le mouvement de la colonne.
Dans les cas de hernie discale lombaire sans instabilité vertébrale, la foraminotomie est souvent suffisante pour soulager les douleurs tout en préservant la mobilité naturelle.
Contrairement à la fusion, la laminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Contrairement à la fusion, la laminotomie ne supprime pas le mouvement entre les vertèbres et vise uniquement à soulager la compression nerveuse.
Oui, à condition que l’état général et les examens préopératoires le permettent.
Oui, l’usage du microscope améliore la précision et la sécurité du geste chirurgical.
Références
Chirurgie cervicale ou lombaire ? Indiquez la région !
Chirurgie Cervicale
En France, la chirurgie cervicale comprend arthrodèse, prothèse discale, endoscopie mini-invasive, foraminotomie décompression, corrigeant hernies, sténoses, instabilités discogéniques douloureuses efficacement.


Chirurgie Lombaire
En France, la chirurgie lombaire propose arthrodèse, prothèse discale, endoscopie mini-invasive, fusion TLIF/ALIF, décompression laminectomie, traitant hernies, sténoses, spondylolisthésis invalidants.
Les Étapes Clés d'Aide à la Décision Chirurgicale de la colonne vertébrale
1
Quel Type de Chirurgie ?
Décompression pour libérer les nerfs avec ou sans fusion pour stabiliser les vertèbres.
Le choix dépend de la pathologie et de l'état général du patient.
2
Quelle Voie d'Abord ?
Antérieure (par l'avant), postérieure (par l'arrière) ou latérale (par le côté).
Chaque approche offre un accès différent aux structures vertébrales.
3
Quel Type d'Implants ?
Choix de la technique cirurgicale cervicale
1
Choix Type Chirurgie
LIBÉRATION avec MOTION (préservation du mouvement).
Alternative: FUSION (blocage) pour stabiliser le segment cervical.
2
Choix Voie d'Abord
Antérieure: approche principale pour la chirurgie cervicale.
Postérieure: utilisée rarement dans des cas spécifiques.
3
Choix des Implants
4
Techniques Spécifiques
FUSION: approches adaptées pour l'arthrodèse cervicale.
MOTION: techniques préservant la fonctionnalité naturelle du rachis cervical.
Choix de la technique cirurgicale lombaire
1
Choix Type Chirurgie
Simple libération nerveuse ou préservation du mouvement (MOTION).
Alternative: fusion vertébrale pour stabiliser le segment pathologique.
2
Choix Voie d'Abord
Postérieure: accès direct aux éléments postérieurs de la colonne.
Antérieure ou latérale: abord moins invasif pour certaines pathologies.
3
Choix des Implants
4
Techniques Spécifiques
Fusion: LIF, PLIF, TLIF, XLIF selon l'accès requis lors de la chirurgie.
Motion: B-DYN, TOPS, ESP pour maintenir la fonctionnalité naturelle.
3 Types de Chirurgie : Libération
1
Simple
Préservation de la mobilité sans implant. Préserve les étages adjacents.
2
Fusion
Blocage définitif du segment. Implants multiples. Effet sur étages adjacents.







